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J6 : On the road again

Dimanche 15 avril 2012 :

Le petit-déjeuner est maintenant devenu une routine, et il est vite expédié. Nous comptons rejoindre les Barrington Tops, un parc national en montagne. Ça nous changera un peu de la mer et de ses plages à perte de vue. Le problème, c’est que cette nouvelle destination est assez loin, il va falloir rouler un moment avant de l’atteindre. Dès la sortie du camping, nous retrouvons nos chemins de terre et de cailloux. Nous roulons, pendant plusieurs kilomètres, mais rien ne se profile à l’horizon. Tout à coup, un carrefour sans direction. Droite, gauche ? Il faut bien en essayer un. Puis vient un autre carrefour, toujours sans indications. Hum… Nous continuons quand même, on ne sait jamais… Une heure après le départ du camping, voilà où nous sommes :

Au milieu de nulle part, avec un chemin qui s’arrête là, et qui n’est emprunté que par des engins d’exploitation forestière. Bon il faut faire demi-tour là je pense… A force de revenir sur nos pas, nous voyons que le premier carrefour n’était pas si mal indiqué que ça : il y avait des pierres qui formaient une flèche au sol. Encore fallait-il avoir l’idée de regarder… Après ce léger contretemps, nous voilà repartis dans la bonne direction ! Mais ce n’est pas pour autant que les chemins s’arrêtent. La terre rouge défile sous les roues de la voiture.

Enfin, nous arrivons sur une route goudronnée : sauvés !  Pas si vite ! Une vingtaine de kilomètres plus loin, la route goudronnée redevient un chemin. Cela ne finira jamais ! Ces chemins, c’est marrant pendant quinze kilomètres, mais aujourd’hui, nous ferons plus de soixante kilomètres hors du bitume. Et nous passons beaucoup de temps dans la voiture, à défaut d’avancer très vite. Néanmoins, tout n’est pas perdu, regardez plutôt ce panneau : du deux en un !

Aux alentours de 15h, nous nous approchons enfin des Barrington Tops, mais il est trop tard pour se lancer dans une grande randonnée comme nous le souhaitions ce matin. Le contraste est assez important avec la veille au bord de la plage. Ici, c’est ambiance montagnarde, avec les vaches qui broutent dans les pâturages, les belles rivières et les forêts.

Nous trouvons un camping privé cette fois. Il faudra payer, mais au moins, nous aurons des douches chaudes ! Ce n’est pas de refus… Voici la vue depuis notre campement, nous sommes montés sur une petite colline qui domine les lieux.

Et comme il ne fait pas encore nuit, nous tentons une balade qui part du camping. Les propriétaires ont un peu rigolé quand nous leur avons demandé une marche dans le coin, mais nous la faisons quand même. En fait, ça ressemble plus à une séance de cardio qu’à une balade ! Une montée énorme et sans fin, qui ne débouche sur rien, même pas un point de vue… Raté !

En revanche, nous faisons connaissance avec un petit animal pas très sympathique… Ces insectes ressemblent à des sangsues et sont présents partout au sol, il faut se méfier et vérifier ses jambes de temps en temps ! Heureusement, ils ne sont pas dangereux, on risque juste de perdre quelques gouttes de sang s’ils s’accrochent à nous. Mais ce n’est pas très agréable… J’en ai filmé un après notre retour à la voiture.

Bref ! La lumière du jour va bientôt disparaître, et nous avons la chance d’être dans un endroit apaisant, où nous passerons une soirée tranquille.

Et comme d’habitude, on fait un petit feu. Notez que nous nous améliorons de jour en jour, celui-ci était esthétiquement très réussi :) Le coucher de soleil est moins impressionnant que les jours précédents, mais j’ai beaucoup aimé l’atmosphère de cette soirée… Avant qu’il ne se mette à pleuvoir des cordes pendant une heure ! Vite, à l’abri dans le Spaceship. Décidément, rien ne se passe comme prévu !

La pluie nous offre un peu de répit, nous pouvons sortir le matériel pour cuisiner. Comme il y a une rivière à une centaine de mètres de la voiture et rien d’autre à faire, nous (Alex et Thibaut) avons bien envie d’essayer de pêcher. Malheureusement, nous n’avons plus d’appâts. Qu’importe, un bout de saucisse sauvé du repas fera bien l’affaire. Et quelques minutes après avoir lancé tout ça dans la Gloucester River, que voilà ?

Une grosse anguille de plus de 70 centimètres. Il faut être un peu fou pour pêcher de nuit alors qu’il pleut, mais nous n’avions rien d’autre à faire. Et puis ça a marché non ? Nous la mangerons le lendemain, ce sera une nouveauté pour Alex et Caro.

Pour finir, le récapitulatif du trajet du jour : beaucoup de route et de contretemps, et moins d’activités. Mais nous ferons notre marche demain, après tout, rien ne presse.

J5 : Les kangourous sont là !

Samedi 14 avril 2012 :

Encore un réveil bien matinal à 6h, mais cette fois c’est volontaire, nous voulons voir le lever de soleil sur la plage. Sauf qu’aujourd’hui, une autre bonne surprise nous attend dès la sortie du duvet : il y a des kangourous dans le camping ! Trop cool :) Et on peut dire qu’ils n’ont pas peur ! Ils sont tranquillement posés au milieu des tentes, à brouter de l’herbe et se laissent même caresser. On pourrait penser qu’ils cherchent des déchets des campeurs, mais même pas. Je suppose qu’ils sont juste curieux.

Nous allons alors vers la plage pour un nouveau spectacle incroyable ! Nous découvrons au passage la plage, qui était toute noire hier soir, et où on ne voyait rien, la lune étant cachée. Les couleurs sont vraiment très belles, c’est génial.

 Et si je sautais au-dessus du soleil ? Attention à ne pas se brûler… La photo est plutôt sympa.

En retournant à la voiture, qui voit-on ? Encore des kangourous ! Peut-être la maman et le petit ? Ils sont mignons, et avec la baie en arrière-plan, c’est une nouvelle photo que je dois vous montrer.

Boïng, boïng, boïng… Le plus marrant, c’est lorsqu’ils se déplacent. Les pattes arrière sont vraiment très musclées comme la queue sur laquelle ils se reposent lorsqu’ils se déplacent doucement, alors que les pattes avant sont toutes fines, de vraies allumettes. Mais quand on s’approche un peu trop près, ils vont voir quelques mètres plus loin si l’herbe est plus verte.

Bon, ce n’est pas tout, mais toutes ces émotions, ça donne faim ! Il faudrait penser au petit-déjeuner. Plutôt que de manger devant la voiture, nous prenons toutes les affaires, pour un repas devant la mer, posés sur des rochers.

Et tant qu’à y être, autant faire d’une pierre deux coups non ? A 7h15, petite partie de pêche… Ce matin, c’est un peu moins fructueux qu’hier, nous attrapons autant de poissons, mais ils ne sont pas assez grands, et retournent rapidement à l’eau. Pas de repas avec du poisson aujourd’hui ! Ne sois pas triste Thibaut !

Tandis que le soleil continue de se lever, et que nous profitons de cet endroit magnifique, nous sommes gâtés : un groupe de dauphins vient nous rendre visite ! Ils restent avec nous pendant près de 40 minutes, en faisant sortir leur dos et leur aileron de temps en temps. Impossible de les confondre avec des requins. Ils se promènent dans la baie, sans doute en quête de nourriture. Dommage qu’ils ne se soient pas approchés un peu plus, mais on ne va pas se plaindre, c’est déjà fou !

Il faut bien rentrer à la voiture, les dauphins sont partis, la canne à pêche est rangée, et il n’est même pas 9h. On peut dire que la journée commence très fort ! Je vous remets quelques photos de kangourous qui prennent parfois des positions fantaisistes. Celui-ci ressemble fortement à une peluche, et les campeurs qui l’entourent n’ont pas l’air de le déranger dans sa sieste… Tranquille le bonhomme.

En voici un autre qui se régale avec de l’herbe fraîche, et tel Lucky Luke, il se promène avec son bout d’herbe dans la bouche, et lève parfois la tête en se demandant ce que nous lui voulons.

Les kangourous et les dauphins ne sont pas les seuls animaux que nous croisons ce matin. Il y en a aussi d’autres un peu moins sympathiques, comme ce grand varan qui se promenait dans le camping. Il devait bien mesurer un mètre de long. Les oiseaux comme celui au fond avec la tête jaune se faisaient du souci, et dès que le reptile s’approchait d’un arbre où les oiseaux étaient perchés, on entendait des piaillements et des cris inquiets. En effet, le varan mange les œufs, et les oisillons.

Voici un autre animal qui n’aura pas besoin de manger avant un bon moment : cette grosse araignée a capturé un papillon de nuit encore plus gros qu’elle, et elle était bien occupée à le préparer lorsque nous sommes passés devant sa toile.

Après cet aperçu de la faune australienne, nous commençons une marche dans le parc national de Crowdy Bay. Un sentier partant du camping nous emmène sur des hauteurs après avoir traversé un bout de forêt d’eucalyptus. Lorsque nous sortons des arbres, nous découvrons une nouvelle plage déserte à perte de vue, quelle vue !

Ici, on peut découvrir une arcade creusée dans la roche. Quand une vague passe à l’intérieur, elle fait monter l’eau très haut : l’entrée est très large, puis se resserre. C’est à nouveau un très beau spectacle. Ce parc est vraiment incroyable, il faut s’arrêter toutes les cinq minutes pour profiter de ce que la Nature a à nous offrir.

Le sentier se poursuit, on a maintenant l’impression d’être dans la garrigue du sud de la France, si ce n’est qu’il y a l’océan Pacifique à côté !

Après deux heures de marche, nous revenons vers le camping et la plage où nous avons déjeuné ce matin. Je ne trouve plus de mots originaux pour décrire la scène, j’en ai déjà utilisé beaucoup depuis cinq articles. On va dire que la photo parle d’elle-même !

C’est bien gentil les marches en plein soleil, mais ça donne chaud ! Quitte à être au bord d’une si belle plage, autant en profiter. On enfile tous un maillot, et direction l’eau chaude. Sur le chemin, je tente une mise en scène avec des kangourous et ma serviette de plage australienne, au cas où on ne devine pas où je suis. Les marsupiaux n’avaient pas spécialement envie d’être pris en photo, ils partaient sans arrêt, et ne voulaient pas regarder l’objectif ! Tant pis ! Celle-ci est quand même marrante. Je n’ai pas de photos de la plage : j’étais bien trop occupé à faire un peu de plongée avant de revenir rapidement faire une petite sieste au soleil pendant une heure. Parfait !

Malheureusement, toutes les bonnes choses ont une fin, et il faut déjà repartir vers de nouveaux horizons. Après un pique-nique dans une autre partie du parc, nous atteignons enfin Port Macquarie, notre destination la plus au nord, vers 15h. Cette ville est réputée pour avoir un microclimat parfait, pour sa vie très douce, et pour ses eaux poissonneuses ! Notre équipe de choc pouvait difficilement espérer mieux. Sur la photo du bas, nous sommes sur une plage légèrement au sud du port de pêche. On peut voir un phare au loin. Encore une belle plage, mais nous n’avons pas vraiment le temps de nous prélasser sur le sable, il est déjà tard, et le soleil se couchera bientôt.

Après Lucky Luke et son herbe dans la bouche, nous voyons maintenant les Daltons sur cette plage. Comment-ça j’ai beaucoup d’imagination ?

Nous faisons quelques courses, puis nous allons vers le port de pêche pour assister au coucher du soleil qui s’annonce plutôt bien.

Allez, voici une belle occasion d’utiliser les crevettes qui nous restent pour attraper quelques poissons. A la lecture du blog, on pourrait avoir l’impression que nous ne faisons que pêcher depuis deux jours, mais je vous assure que non ! A chaque fois, ça dure une heure à peine, c’est juste le temps pour Caroline de regarder le paysage, d’aller voir les perruches dans les arbres, d’apprendre quelques techniques de pêche, ou quelques nœuds. On ne sait jamais, ça peut toujours servir :)

Comme ce matin, nous attrapons plusieurs poissons, qui ressemblent à ceux de la veille, mais nous avons déjà le repas pour ce soir qui nous attend dans la voiture, aussi les poissons retournent à l’eau. Pêcher ici est vraiment top, on fait ça dans un cadre magnifique, il y a plein de poissons, c’est facile et amusant. Je crois que même Caro est convaincue !

Bon, il fait nuit noire maintenant, et il faut penser à trouver un endroit pour dormir. En route pour le prochain camping ! Comme nous nous améliorons de jour en jour, nous pensons maintenant à ramasser du bois mort au bord de la route avant d’arriver au camping, car souvent, les campeurs avant nous ont déjà tout ramassé et il est difficile de trouver des branches pour alimenter le feu. Alors qu’ailleurs, il y en a partout !

Après plus d’une heure de route, nous voilà arrivés à un grand campement à Swans Crossing. Comme d’habitude, il nous a fallu faire 15 kilomètres de chemin en terre pour trouver ce lieu perdu dans la forêt. Mais comme à chaque fois, nous trouvons une dizaine de famille qui sont installées un peu partout sur un terrain grand comme six terrains de foot. Ça va, on a de la place… Mais c’est aussi rassurant de savoir que nous ne sommes pas tout seuls.

Le bois sec ramassé plus tôt brûle très bien, ainsi que les deux énormes bûches trouvées sur place. Parfait pour cuisiner les petites côtelettes d’agneau ! On ne se refuse rien me direz-vous, mais la viande est un des seuls produits à être bon marché en Australie, autant en profiter. Et ce soir, c’est vraiment la fête, nous avons même des bières pour arroser tout ça.

Ce repas fut un régal et une belle conclusion pour cette journée chargée. Puis Alex fait tout ce qu’il peut pour faire brûler les grosses bûches, nous traînons un peu autour du feu, avant de rejoindre les duvets !

Ce cinquième jour était sans doute le meilleur de la semaine : température idéale, soleil, les animaux australiens, la nature. Tout était parfait : ça vaut vraiment la peine de vivre des moments comme ça.

J4 : Entre deux eaux

Vendredi 13 avril 2012 :

6h00 du matin : hop hop hop on est déjà debout ! Et oui, on ne traîne pas, le soleil se couche tellement tôt qu’il faut profiter de la journée dès les premiers rayons. En fait, c’est oiseau ressemblant à un dindon qui est responsable de ce réveil matinal, mais on en reparlera un peu plus loin… Et comme on est juste au bord de la mer, j’en profite pour attraper mon appareil photo et pour faire un saut sur la plage. C’était une bonne idée, ce spectacle était aussi bien que ce celui de la veille au soir.

Et ici, on peut voir un bout de lac, les arbres qui cachent le camping et les montagnes au loin depuis le sommet des dunes. Ça vaut vraiment la peine de se lever aussi tôt pour voir ça.

Allez, une autre petite photo du Bombah Broadwater, un des plans d’eau des Myall Lakes. C’est la vue depuis la tente pour le petit-déjeuner. Assez sympa, il faut l’avouer :)

Pendant que je m’amuse avec mon appareil, mes deux autres compères ne perdent pas le nord et s’attaquent aux tartines et autres cookies. Il y avait un peu plus de gens que d’habitude dans ce camping, mais ça ne nous a posé aucun souci.

Alors, revenons à notre dindon ! Nous avons fait l’erreur de laisser la poubelle contenant les restes de crevettes en dehors de la voiture pour ne pas embaumer l’habitacle, ce que notre ami a pris pour une invitation au petit-déjeuner. Malheureusement pour lui, les déchets étaient enfermés, si bien qu’il a essayé de le transpercer avec son bec et qu’il n’a pas arrêté de le remuer dans tous les sens. Et je vous assure que ça fait du bruit.

Comme d’habitude, nous ne traînons pas trop au camping, et nous nous dirigeons vers une marche dans le parc avec pour destination un point de vue sur les lacs. Ce fut un nouvel échec car les Australiens s’occupant du parc avaient oublié de couper les arbres au sommet pour dégager la vue. A part cela, c’était quand même très agréable, on se serait cru dans la savane africaine par moments.

En voiture ! Pour éviter de faire un gros détour, et aussi parce que c’est amusant, nous passons par une route qui nous fait prendre un ferry ! Pas pour traverser une grande embouchure, ou un lac entier, non non non. Plutôt pour faire une trentaine de mètres ! Les ingénieurs australiens n’ont pas dû avoir envie de construire un pont ! Sur la photo suivante, nous sommes sur le ferry, qui ressemble plutôt à une plateforme flottante. Six voitures peuvent monter dessus, et la traversée dure quelques minutes.

Après avoir traversé tout le parc, nous continuons notre voyage vers le Nord. Nous faisons une halte à Elizabeth Bay, au bord d’un lac. Au menu, sandwichs au poulet et tomates congelées par le frigo du van mal réglé. Bon appétit !

Il faut que je vous avoue quelque chose… Voir tous ces pêcheurs, ça nous a donné des idées avec Alexandre. Alors, nous avons décidé d’investir dans une canne à pêche. Mais pas n’importe laquelle : la moins chère du magasin ! Forcément, au moment de monter la ligne sur la canne à pêche (oui, il vaut mieux le faire en avance, on ne sait jamais quand le poisson est prêt à mordre !), le moulinet ne tourne pas bien. Made in China… Forcément. Alors on insiste, et on se lance dans un démontage intégral du moulinet pour trouver l’origine de la panne. Après une petite heure de recherche, on trouve un engrenage avec des dents cassées, et deux pièces déboîtées. Tant pis pour les dents, on remet les deux autres pièces, et on remonte : ça tourne parfaitement !  C’est ce qu’on appelle une optimisation du moulinet. Et nous sommes alors prêts à repartir.

Nous passons à Forster, une ville de taille moyenne où nous achetons des appâts (crevettes), puis nous partons en direction de la plage. Et quelle plage ! Nous sommes tout seuls, le beau temps est enfin là, l’eau est bonne, le sable est fin, c’est trop bien !

Mais Alexandre s’ennuie déjà un peu, aussi va-t-il rapidement chercher la canne à pêche fraîchement réparée. Une crevette sur l’hameçon, et c’est parti. Il y a bien des pêcheurs autour, mais ça n’a pas l’air de mordre. Pourtant, après 10 minutes d’attente, le premier poisson est là. Et il n’est pas trop ridicule ! Ça ressemble à une dorade, les Australiens appellent ça une brème. Nous demandons au pêcheur à côté de nous si nous pouvons le manger, et il nous assure que oui. Le repas de ce soir commence à se constituer… S’en suivront deux autres poissons : une autre brème, puis un poisson à tête plate.

Après une petite heure de pêche, l’objectif est atteint car nous en avons un chacun, et nous quittons la plage avant le coucher du soleil. Encore une fois, la lumière est au top.

Petite photo des deux pêcheurs du jour, et de leur apprentie qui a fait son premier nœud avec succès.

Nous continuons à longer la côte, jusqu’à arriver au camping de Diamond Head, un autre parc naturel à une cinquantaine de kilomètres de Forster. Nous trouvons un emplacement dans ce camping où de nombreuses familles profitent de la fin des vacances de Pâques. Il est même équipé de barbecues, où nos amis les poissons finissent grillés. Ils étaient très bons, surtout celui de gauche.

Encore une journée réussie ! C’est toujours mieux quand le soleil est au rendez-vous. Et le guide touristique ne mentait pas : la région est très poissonneuse ! Seul bémol : la douche froide que nous avons dû prendre ce soir-là ! Les ballons d’eau chaude du camping n’étaient pas vides, ils étaient juste inexistants…